SAMEDI 2 JUIN : Autodrome Héritage Festival


La quatrième édition de l’Autodrome Héritage Festival se déroulera sur le célèbre et mythique circuit de Linas-Monthléry. Cet évènement réservé aux véhicules de collection, toutes marques mondiales, en parfait état de présentation.

Une animation spéciale sera réservé aux monoplaces. Cette année plus encore un plateau constitué des MEP et des Monomills comme à la grande époque d’Alain Gawski, sera le clou du spectacle.
Le tout sur une seule journée : le samedi 2 juin en journée.
Une soirée de gala est aussi à l’ordre du jour pendant la quelle seront remis les Trophées AHF 2012.
Les Trophées AHF, c’est quoi ?
Créés en 2011, les Trophées AHF récompensent les véhicules les plus intéressants du plateau. Un jury d’honneur va élire au cours de la journée plusieurs véhicules par catégorie. En soirée, Grégory Galiffi de Direct 8 et des personnalités du monde de la collection (pilotes et anciens pilotes, patrimoine des marques, journalistes) remettront les trophées aux gagnants. Une fois de plus, cette remise des trophées sera soutenue par nos partenaires.
La Soirée de Gala, l’écrin idéal des Trophées AHF
La désormais traditionnelle Soirée de Gala clôture chaque édition d’Autodrome Heritage Festival.
Convivialité, passion et moments de joie sont les ingrédients d’une fête de la passion automobile réussie. Projetées sur un écran géant, les photos de la journée défilent, et contribuent à prolonger l’ambiance festive de la journée.

9 et 10 JUIN : GRAND PRIX VH et FREE RACING

C’est sur le célèbre circuit du Pas de Calais que se dérouleront le Grand Prix Historique comptant pour les championnats VHC 2012.

L’originalité de ce circuit et en fait le seul stade automobile Européen à visibilité totale quelques soit l’emplacement du spectateur.

Le circuit auto et moto de Croix-en-Ternois est homologué pour les compétitions automobiles jusqu’à la Formule 3, et motocyclistes catégorie Promo sport jusqu’à 1000 cm3.

Sa piste développe 1km900 sur 9 mètres de large. Dotée de nombreux grillages d’arrêt, la piste en est munie de chaque côté des accotements de 8 à 9 mètres de large et atteignant même 50 mètres dans certaines courbes.
La sécurité des pilotes ainsi que celle des spectateurs sont assurées par un mur périphérique (totalisant 4 kms) possédant également la propriété de renvoyer la propagation du bruit.
A l’intérieur de la piste, une passerelle donne l’accès à un parc réservé aux concurrents, aux stands et bureaux de direction.

Pas de plateau MEP / Monomills, mais un formidable plateau de Racer 500 historiques en grande majorité anglaise : une rareté absolue en France.
Je me glisserai parmi eux avec le Monomill blanc d’origine 1954, ex-Pougenq, et qu’Honoré Durand, le propriétaire actuel, me prête sportivement pour la saison « Racer 500 ».

6 AU 8 JUILLET : LE MANS CLASSIC

L’évènement est le plus important de la saison et le plus médiatiosé.

Depuis dix ans déjà, tous les deux ans, Le Mans Classic met volontairement la concordance des temps de côté, préférant évoquer le passé au présent, en regardant vers demain.

Et cette année, c’est également vers l’Ouest que son regard se tournera pour célébrer les Américains au Mans.

Toutes les belles autos ont leur place au Mans Classic, offrant un panorama unique sur le meilleur de la construction automobile.
En course sur la grande piste des 24H, dans tout le circuit avec l’histoire de l’automobile racontée en quelque 8000 voitures de Clubs ou bien encore grâce aux deux clubs 24 que sont Le Mans Heritage Club ou le SuperSpace qui accueille les supercars…

Le Mans Classic c’est aussi la fête, chez les collectionneurs avec la vente aux enchères, dans le village avec les boutiques et animations, pour les juniors de 7 à 12 ans à qui la piste s’ouvre le temps d’une parade… Et pour une occupation familiale à plein temps pour laquelle trois jours suffisent à peine !

Cette piste : la plus célèbre du monde avec ses Hunaudières qui, depuis les premières « 24 Heures » en 1923 garde intacte sa part de magie, tout comme le non moins légendaire départ en épi : ils sont indubitablement la combinaison gagnante du Mans Classic.

Six plateaux, accueillant les modèles de voitures ayant déjà participé à cette épreuve unique entre 1923 et 1979, se succéderont trois fois, de jour et de nuit, soit dix huit départs, ou presque, en épi :
– Plateau 1 (1923/1939)
– Plateau2 (1949/1956)
– Plateau3 (1957/1961)
– Plateau 4 (1962/1965)
– Plateau 5 (1966/1971)
– Plateau 6 (1972/1979)

Il y a deux conditions pour atteindre la ligne tant convoitée :
Etre titulaire d’une licence Internationale FIA Compétition ;
Posséder -ou partager- une voiture éligible, ou un modèle du même type, qui a disputé les 24 Heures du Mans entre 1923 et 1979.

Et comme Le Mans est une histoire d’hommes et d’endurance, c’est à une équipe complète composée d’une voiture de chaque plateau que reviendra la victoire au Mans Classic.

La mécanique Panhard sera cette années encore bien représenté par :

Plateau n°2

– CLEMENT/MANGIN/MOLIERE FRA/FRA/FRA DB HBR Barquette 1953
– LANLAUD/RIVET/VINCENS FRA/FRA/FRA DEUTCH BONNET HBR 53 1953

Plateau n° 3

– DURAND/GODEFROY/DUPRAT FRA/FRA/FRA DB HBR Barquette 1957
– ELOY/MACQUET FRA/FR

Plateau n° 4

– Jacky LAGUERRE FRA PANHARD CD 1963

21 JUILLET : CITRORACING

Rassemblement incontournable de nos amis Citroën qui nous invite à partager le circuit du Bourbonnais pendant tout un week-end.

Cette année, Citroracing mettra à l’honneur le 2CV Cross qui fête ses 40 ans, le Trophée Visa International et la Visa Chrono qui ont vu le jour en 1982.
A cette occasion l’inscription au « rassemblement » sera offerte aux Visa Chrono.

Le programme de cette 7ème édition de Citroracing reprendra le format des éditions précédentes : roulage par plateau de 9h à 12h puis de 14h à 18h samedi et dimanche, et la soirée « rétrospective Citroën en rallye » samedi après le déjeuer au restaurant de l’aérodrome.

Grâce au renouvellement du soutien de Citroën, les tarifs des différentes options (5 ou 10 sessions, samedi et/ou dimanche) restent identiques à ceux de 2011.

Les contraintes sonores du circuit n’ont pas changé soit (95db é 3/4 du régime), mais il est important de signaler que tous les véhicules présents l’année dernière ont passé avec succès le test du sonomètre (y compris les MEP et Racer), parfois aidés par la pose d’une sourdine (15 euros dans un magasin d’accessoires moto!!!).
Pour l’anecdote, c’est l’auto la plus récente du plateau, la C3 Cup de JP Wagner, qui a posé le plus de problèmes à cause du bruit très particulier émis par son 3 cylindres dans les phases de décélération.

Un beau programme estival en perspective !

Charly RAMPAL