SYSTEME D’OUVERTURE ET DE FERMETURE DU COUVERCLE DE COFFRE

Comme pour le capot, l’aérodynamisme et l’esthétique ont joué de pair dans l’étude des formes du couvercle de coffre.

Il est arrondi, galbé, et comporte en son milieu une nervure longitudinale en rappel de celle du pavillon et du capot. De chaque côté de cette nervure, parallèle, correspond à la ligne des gouttières de l’avant.

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Le couvercle déjà raidi par ces nervures l’est encore sur sa face inférieure par des traverses et des montants en forme d’oméga, disposés en trapèze. Ces renforts sont croisés et élargis à la base pour donner plus d’assise aux
compensateurs télescopiques assurant l’ouverture et la fermeture.

Les articulations de ce mécanisme ont été étudiées pour supprimer pratiquement tout effort mais aussi pour obtenir, au dernier stade de la fermeture une
légère pression du couvercle sur le caoutchouc de mousse périphérique du coffre.

Une certaine souplesse ayant été conservée au couvercle, la fermeture est rendue ainsi hermétique.

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Un jonc de plastique borde le couvercle. En exemple de l’esprit de recherche poussé dans le détail, on peut citer le petit masque métallique soudé au compensateur ; il est destiné à éviter la projection du ressort en cas de rupture de sa pièce d’arrêt (photo 62).

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Une forte serrure est montée entre les deux traverses arrière. Son barillet, placé en retrait de la corniche formée par le pontet est ainsi à l’abri de la pluie et du gel. Le fonctionnement est très doux .

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Dans un prochain article toute la partie arrière de l’habitacle sera étudiée.

Charly RAMPAL (sur des informations et des photos du bureau d’Etudes de Panhard)

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