Dans l’année 1949, le « mouvement  500 » se bousculaient d’innombrables intentions et d’actions de construire un Racer capable de donner au sport-automobile le renouveau d’après-guerre, tant attendu.

Le monde n’était plus aux grosses cylindrées, ni aux voitures de grand luxe, réservées à une poignée de nantis.

La jeunesse sportive voulait avoir sa place dans le grand concert de la notoriété, mais surtout vivre ses passions à travers la course automobile.

Nous avons vu comment cette discipline a démarrée en Angleterre, berceau à jamais du football et du sport sur 2 et 4 roues.

Beaucoup se lancèrent avec peu de moyens et des connaissances techniques plutôt empiriques que scientifiques.

LES DIVERSES SUSPENSIONS

Chargées de relier ces châssis au sol, les suspensions jouent un rôle essentiel pour la tenue de route, le passage rapide et le passage de la puissance.

Diverses épures furent réalisées avec des différences visuelles soulignant le talent inventif de cette époque sans ordinateur où tout se faisait à la main sur papier et à la règle de calcul.

Ci-dessous les différents types de suspensions.

TERIGI (France) :

KASA (SUISSE) :

DB (France) :

COOPER (ANGLETERRE) :

JBS  (Angleterre) :

JB de St Ouen Cilgnacourt

IOTA :

SCAMPOLO et son pont DE Dion et barres de torsions

KIEF  (Angleterre) :

LA KIEF à moteur Norton :

Sa version améliorée :

MORETTI (Italie) :

BOND (Angleterre) :

LAIGNEL :

Charly RAMPAL     (Récit et plan tirés de la revue « Racer 500 » et signé B. Lacoste. Dessin réalisés par Gédovius)